opistoL’amélioration du tri des déchets, l’organisation de la collecte et le développement technologique de la chaine de valorisation des déchets des ateliers de réparation automobile permettent d’appliquer et de généraliser les principes de l’économie circulaire en recyclant de plus en plus de matières issus des déchets.
Cyril Azzali, Commercial comptes nationaux pour le Groupe CHIMIREC, a partagé quelques exemples lors de l’entretien (Lire l’interview) qu’il a accordé aux représentants du Livre Vert.

Diluants de peinture :

  • Distillation et rectification des solvants usagés permettant de séparer les déchets du solvant par blanchiment
  • Séparation des différents types de solvants propres par rectification
  • Ré-additivation et reconditionnement des produits.

Mastics, colles et peintures :

  • Valorisation Energétique (transformés en combustibles des déchets à fort pouvoir calorifique. Destinés aux industriels autorisés à utiliser des déchets pour la production d’énergie, ces combustibles de substitution énergétiques (CSE) se substituent donc aux énergies fossiles..)

Aérosols : ils doivent être éliminés par des entreprises spécialisées

  • Valorisation énergétique des résidus dangereux
  • Valorisation de matière de la partie métallique

Pare-brise : ils sont broyés afin de séparer le calcin de verre du PVB (Polyvinyle de Butyral). Le calcin trouve une seconde vie dans la céramique ou les produits d’isolation (laine de verre).

Pare-chocs : ils sont broyés puis réintroduit dans divers cycles de production des industries automobiles et des plasturgistes (passages de roues, bacs à déchets).

Source : CHIMIREC
Crédit photo : SIPEV